En realite, la mission kenyane , avec un œil aveugle, persiste a venir maios ne prevoit aucun armement moderne serieux, sauf des fusils, face aux gangs bien armés.

 

Si un drone de combat, coute 20,000 dollars US et un missile 200,000 dollars, rien de tout ceci n’est prevu. Pas d’armes de cette armée permettant de larguer des grenades ou bien encore s’écraser sur leur cible de bandits déclenchant une charge explosive.

 

Meme pas de drones militaires avec une grande autonomie, comme les drones suicides Shahed-136

 

En realite, la mission kenyane , avec un œil aveugle, persiste a venir maios ne prevoit aucun armement moderne serieux, sauf des fusils, face aux gangs bien armés.

Si un drone de combat, coute 20,000 dollars US et un missile 200,000 dollars, rien de tout ceci n’est prevu. Pas d’armes de cette armée permettant de larguer des grenades ou bien encore s’écraser sur leur cible de bandits  déclenchant une charge explosive.

Meme pas de drones militaires avec une grande autonomie, comme les drones suicides Shahed-136

Aucun système de défense serieux. Pour minimiser les coûts au tir et maximiser les coups au but, les troupes du Kenya misent sur des fusils et non sur des canons lasers ou encore des railguns.

Or pour moins d’un dollar le tir, un commando pourrait faire mouche à coup sûr et à la vitesse de la lumière dans le cas du laser. Les Kenyans ne possssedaient pas de systèmes d’antennes à micro-ondes de haute puissance, non plus pour « agir  » . La Haute Cour du Kenya qui a bloqué sa police  sait que  cette intervention n’était qu’une partie risquee , puisque les gangs ne fonctionnent pas avec des batons mais de vrais armes de guerre.

En fait,  la question de l’armoirie d’armes à feu des forces non onusiennes pose toujours probleme

 Les vrais armements classiques sont nulles par rapport a la dissuasion et seul un commando peut uiliser des armes de défense face aux  crimes organisé. Avec la force onusienne, il y avait des « des véhicules blindés », meme s’ils qui n’avaient  rien à voir non plus avec des véhicules tactiques de combat blindés même légers aux temps de la guerre contre les premiers gangs. Les bresiliens sont venus avec quelques « avions de transport de troupes de combat »,

 Certte fois, avec un commando,  on pourrait attendre  des avions militaires, des bombardements sur les bases, avec l’appui de l’armee haitienne  de la PNH et de l’ONU.

Dans la panoplie il faudrait certes des « hélicoptères », qui  participeraient à de réelles opérations militaires, ce qui aurait l’avantage de lever l’embargo sur les armes, suite a une decision du Conseil de Securite, dans le cadre de la crise actuelle.

 

Si l’armee kenyane arrive durant l’été, en depit de la loi, elle aura besoin d’un accord de reciprocite, c’est a dire voir deployer sur son teritoire une force multinationale non onusienne de policiers ou de militaires haitiens. Les deux auront besoin  besoin aussi de systèmes d’artillerie, ou de grosses pièces à feu et non de fusils d’un calibre inférieur à 75 mm . Le president Kenyan actuel aspire a trouver de l’argent pour s’equiper sur le dos ‘Haiti  mais ne comprend pas que Haiti doit aussi deployer ses soldats chez lui

Or, nous avons besoin maintenant de divers  missiles à courte portée contre les bases des gangs kenyans, et utiliser chez nous,sans doute un commando haitien, composé d’employés étrangers si necessaire.

Aussi imple que cela

En realite, un accord de recprocite, exige que le Kenya se courte  l’injonction de la ustice de son pays.

 

Pas question e venir jouer en Haiti au commandeur.

Maintenant, je pense que vraiment la solution haitienne est obligatoire,urgente afin d’eviter que des sources de plus en pluspolluees entrainent la nation vers la mer…