Face à cette situation jugée “révoltante et inacceptable”, l’OPC exige des changements au niveau du Haut commandement de la Police nationale.

Lors d'une note de presse rendue publique au lendemain de l'évenement, l’OPC fait montre sa colère suite à ce nouveau drame affectant l’institution policière en invitant les policiers et policières de toutes les unités à une solidarité pour freiner les assassinats en série des membres de la PNH.

Pour l’Office, il s’agit d’une situation “révoltante et inacceptable”. Indigné suite à l’assassinat de 3 policiers de l’unité Unité Temporaire Anti-Gang (UTAG). La structure étatique exige, sans ambages, des changements au niveau du Haut commandement de la police nationale.

Dans ce document officiel, l'Institution Nationale de Promotion et de Protection des Droits Humains presse les autorités concernées de prendre les dispositions nécessaires pour éviter de tels drames au sein de la police nationale.